Légaut en paille !

Au plat du jour :

• gratinée de coffrage
• émincé de poutrelle et son lit d’ourdis

Voici ce que j’avais fait mercredi pour préparer cette journée (l’appareil photo marche de nouveau avec ses piles neuves !)

Mise en place des poutrelles

Qui veut sa piqure de rappel ?

Et voilà ce qu’il en est ce soir ! Il reste à creuser des tranchées pour les évacuations et les tuyaux d’eau, il faut ensuite égaliser de partout, finir le pourtour de la maison avec des moellons et préparer la terrasse. Comme quoi, ce n’est pas lundi qu’on passera la journée dans la chaise longue !

Et non, toujours pas de photo aujourd’hui : j’avais bien l’appareil, mais plus de piles !

En tout cas, les 294 moellons restant sont à la place pour samedi, prêt à être utilisés. J’ai fait le ménage dans la cave en vue de poser la dalle à ourdis samedi. Et j’ai fait le plus dur dans le regard pour l’eau potable : quelle transpirée ! Si vous devez faire un regard pour le branchement d’eau potable, demandez à voir un regard type, cela vous aidera énormément.

Ancienne entrée d'air du puit canadien

Ce matin, on a refait correctement l’entrée d’air du puit canadien qui ne me convenait pas.

Sous les deux tuyaux, j’ai mis un géotextile pour qu’il retienne un peu l’humidité et surtout qu’il retienne la terre mise autour des tuyaux. J’ai rajouté une rehausse dessous les deux tuyaux : il n’y aura pas de problème d’eau qui s’infiltrera et les deux tuyaux sont scellés dans du béton à l’endroit où ils rentrent dans le regard. Les rehausses sont jointées entre elles avec un mortier sable/ciment. Tout ça sous l’oeil attentif de Nico ! Pas de photo de la nouvelle version : j’ai oublié l’appareil photo ce matin.

Pour le regard d’eau potable, j’avais pris rdv avec un gars du service des eaux pour qu’il m’explique ce qu’il voulait. On fait et puis le gars repasse pour nous expliquer qu’il ne fera pas le branchement parce que cela ne lui convient pas. Et il nous explique comment on aurait du faire ; et c’est pas du tout comme la première explication. J’ai donc commencé à rattraper le coup.